CAPRICE ET COMÉDIE POLITIQUE
Mon intention est là, d’être en place pour servir un peuple. Ce peuple là, qui donc est en train d’entendre pour certains et de voir pour d’autres. Sachez, avant tout, que tout ce que je vous dis est une parole écrite, puis lu (possiblement apprise (si le lecteur ne lit pas)). Et c’est à partir du corps de ce qu’on peut appeler le comédien que ces mots prennent vie, d’où l’expression jaillit. Faut-il préciser que je ne suis donc d’aucun parti. Car mon intention, je le répète n’est pas d’apparaître en m’identifiant à quoi que ce soit, mais de servir un peuple. Plein de tout ceux qui écoutent cela. Et donc de ce que là, cela dit. Et pourtant, déjà, hors de ce moment présent d’écoute, de lecture, seul, face à cette feuille de cahier de brouillon. Mon intention est donc de servir un peuple.
Et un des premiers gestes est et sera, encore longtemps, d’abord, de vous dire la vérité, de ne plus basculer aux mensonges.
Donc, ici, avant même de commencer, il y a déjà a avouer qu’il y a des quantités énormes, énormes, de problèmes, d’erreurs, même, dissimulées. Certaines, je suis sûr, sont des silences nécessaires, au bien être du peuple, peut-être parce qu’elle donnerait lieu à des atteintes physiques à ce peuple là. Peut-être que se sont aussi des silences dû à des horreurs commises par ce peuple, en ayant, par exemple, élu tout ces gouvernements qui se sont succédés. Mais nous pouvons être sûr de cela : Nous avons commis des erreurs, tous. Et je ne pense pas que je n’en ferai pas. À ce moment là, vous verrez l’effet de ce que permet le fait d’avouer. Mais nous n’y sommes pas encore. Il y a également des silences, des mensonges en place aujourd’hui, dans l’autre sens de servir un peuple. Des mensonges montés pour déservir le peuple. asservant, dit-on, je crois. Où ce n’est plus le gouvernement élu par le peuple, au service de celui-ci, mais, plus simplement le peuple asservie au gouvernement. Et, ces silences là, il faut y mettre un terme, vite.
Avec cela, je demande à ce peuple de se tourner vers ce peuple là. Et j’invite tout le monde à se tourner vers ce peuple. La première chose observable, alors, est : que ce peuple là n’est pas “Frânçais”, que ce n’est pas le peuple “Frânçais” qui accède à ces mots. Nous distinguons déjà, tous, que les différences sont là. Et, que d’ici, déjà, nous sommes en mesure de voir l’incompréhension des uns. Puis l’incompréhension des autres de l’incompréhension des uns. Et des uns pour les autres.
Voici donc le moment de l’articulation de l’aveu du peuple, puisqu’il serait bon d’entendre : “Sommes-nous certains que nous sommes incompris ?”
Car si l’on suit bien, il faut qu’il y est une non-compréhension pour n’être, qu’après, incompris. Ne sommes-nous pas, avant tout (que ce peuple en écoute excuse mon invention linguistique) des incomprenants.
Cela sera donc la première action que je mènerai, celle de redresser la compréhension de chacun. Qui n’a pas compris ?
-jo-
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