ECCE HOMO
Last updated: Mar 5, 2022
“Lorsque tu dis “bébé” moi je pense “bite”. Tu veux du “bébé” alors prends de la bite. Un bébé sans bite ça n’existe pas. Comment peux-tu être autant désireuse d’un bébé alors que tu négliges autant la bite ? Toi et ton désir de bébé, si tu en as un, à quoi la bite servira ? Plus à rien… À un autre bébé à la rigueur. J’aimerai avant tout que tu me certifies que tu n’abandonneras pas la bite. Et même si tu le certifies, comment pourrons-nous en être certains, hein ? Et même tes bébés, qu’est-ce qui certifie que tu ne les abandonneras pas, eux aussi, hein ? “bébé”, ça ne dure qu’un temps. Seras-tu capable d’en vouloir au temps ? D’être déçu de leur liberté ? Le mieux, pour l’instant, c’est que tu te concentres sur la bite… Pas la bite… La mienne… Qu’on soit bien d’accord.”
“Comprendre que le pénis est la première pierre de l’édifice d’une femme respectable.”
“Je suis un homme parce que je suis musclé. Parce que j’ai une violente bite. Parce que ma violente bite va, des fois, dans mes poings.”
“Je suis aussi fragile que du verre.”
À quoi jouons-nous ? Avons-nous vraiment besoin de faire cas de nos muscles pour garder l’ascendant sur ce qui semble plus fragile ? N’est-ce pas plutôt une faiblesse que de toujours en arriver à nos muscles avec “des plus fragiles” ?
“Je lui ai demandée d’arrêter… Parce que je ne savais plus quoi dire d’autre, alors, je vous le jure, je lui ai demandée d’arrêter. Mais elle me prenait de haut, ça vous énerve pas vous, qu’on vous prenne de haut ? Moi, ça m’énerve. À un moment elle a dit : “Tu vas faire quoi ?!” Ça m’a fait apsser de l’autre côté. Je suis passé de l’autre côté.”
“Je n’ai aucun plaisir… POurquoi je suis en train de faire ça à la personne que je dis aimer ? Qu’est-ce que c’est que toute cette violence qui s’abat sur elle ? Pourquoi je crie comme ça ? Pourquoi je tape comme ça ?”
À tous ceux qui tabassent leur femme,
Jamais personne ne sera à vous,
Même “vos” femmes ne vous appartiennent pas,
même “vos” chiens ne vous appartiennent pas.
“vos” enfants,
“votre” argent,
“votre” main n’est pas à vous.
Ici,
Enfin,
Il est temps que vous l’entendiez.
Vous n’êtes que des merdes.
Et nous allons ensemble,
Enfin,
Tous ensemble,
Vous chier dessus !
Allez, Messieurs, un volontaire.
Vous qui êtes si costauds, il est temps de le prouver à tous !
Qu’un de vous, bâtards infâmes,
Monte sur scène pour que nous puissions leur chier dessus.
Et voilà…
Il n’existe pas un seul d’entre vous suffisament fier pour vous présenter ici. Toujours planqués.
Vous pouvez m'envoyer un mail à jonathan.dupui@aquilenet.fr, n'hésitez pas.