LES PAS AIMÉ.E.S
Last updated: May 13, 2022
Quand même…
Il en existe qui ne sont vraiment pas aimés par la vie.
Si c’est parce que dans une autre, ils ont été des enflures, eh beh, dans celle-ci ils ont compris, putain.
Et je ne suis pas sûr qu’une enflure mériterait ça pour autant.
Non…
Vraiment, j’ai l’impression qu’il y en a qui ne sont vraiment pas aimé par la vie.
Est-ce que cela ceux-là sont précisément ceux qui se sont mis à exister par autre chose que l’amour ?
Oui, oui, je parle du viol, oui, oui !
Parce que, pour que quelque chose vive, c’est soit par l’amour, soit par le viol…
Il y a pas d’autre possibilité.
Mais même…
Si, par exemple, mon père est un violeur…
Celui que je serai, moi ?
Je viens d’où ?
Je veux dire à part d’une chiasse à chier. Je viens d’où ?
Je veux dire.
Si je viens dire à la salope qui a aguiché mon père (si, par exemple, c’est comme ça quelle croît qu’on la voit : “la salope qui l’a mérité”) et que je lui dit :
“D’accord. D’accord. Mais moi, j’y peux rien. J’y peux quoi ? Qu’est-ce qu’il faut que je fasse quoi ? Je veux dire… N’ai-je pas pour autant droit à l’amour, du coup ?”
Et que, elle, elle réponde :
“Non. Va bien te faire enculé violemment comme je l’ai vécu. Reçois les coups que ta présence mérite. (coup de pied dans le visage après une prise de Taekwondo parfaitement maîtrisée par des séances de self-défense pour les ménagères agressives de plus de cinquante ballets) Quel regard veux-tu que je te porte ? Comment penses-tu qu’il soit possible que je t’en offre un autre ? Tous les autres seront pires, et tu ne feras que moins les aimer. Dis moi, comment puis-je ne pas voir ce connard quand je te vois ? (Etc)…”
Lui, ce fils là, n’est pas si malheureux non plus, il pourra quand même évoluer, il deviendra le connard que sa mère lui soumettait d’être.
N’est-ce pas un geste d’amour que de se faire frapper par sa mère pour régler la question du viol ?
Il reste quand même en accord avec quelqu’un, parce qu’il y a quand même quelqu’un.
Non, je reviens sur ce que je dis, il en existe bien qui ne sont pas aimé par la vie.
Et là, je me dis, “ouf !” J’ai passé l’âge.
Je veux dire qu’aujourd’hui, et depuis un certain moment, je peux toujours foutre sur la gueule d’une vieille.
Ça serait assez simple.
Peut-être même que la simple phrase : “Je ne veux pas vous faire du mal, mais.” Suffirait sans que j’en tape une.
Mais au final, ces vieilles, je veux dire même celles qui tenteraient de résister ( Ahah ! La blague !) Les tabassées violemment, même celles-ci sont quand même bien vernis par la vie, au final.
Contrairement à ces autres qui, eux, ne sont juste pas du tout aimés par elle.
Les vieilles, elles, ont déjà pût faire…
Euh…
Culpabiliser, par exemple.
Elles parlent, elles, après, si elles veulent.
Puis on peut les emmener dans un hospice de vieilles tabassées où elle trouverons des copines pour avoir un miroir de ce qui leur reste d’arrogance…
Quand tu n’as que de la poussière en miroir…
Franchement, ça fait chier !
Non, non…
Vraiment…
Il en existe, rah la la…
Ils sont vraiment pas aimé pour vivre.
Et même ceux qui aprennent trop tôt qu’ils ne dureront pas longtemps.
Comme ceux qui ont la muscadovicidose, eux, cest quand même : “vlan, dans ta gueule !” Mais quand même, ils ont le temps de voir leur parents chialer leurs propres conditions de bientôt perdre leur enfant chéri, avec quoi monsieur l’enfant peut enfler d’importance jusqu’à faire mouiller les ménagères de cinquante ballets en chantant de la soupe (oui, les mêmes qu’au cours de self-défense plus d’autres).
Ou être le vrai plus triste des adolescent…
Non, même ces vernis-ci peuvent juste fermer leur gueule et arrêter de se plaindre.
-jo-
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