QUE L'AFRIQUE

Ça y est, c’est décidé, instauré, Conclue.

Il ne reste alors plus que l’Afrique. Ou l’africain, l’africain noir d’afrique. C’est bon pour les pays arabe. C’est bon, il y a une déduction qui s’est faite. Une erreur partagée s’est, du moins, interprêter, par l’échange. Et même là, ça s’est décidé, conclue. Donc l’Afrique noire. Il ne me reste plus qu’ici, qu’un accueil peut s’ouvrir pour moi. Mais j’en porte, des titres. Mais, je n’en porte pas non plus, des titres. J’ai des titres que je porte, et j’ai pas des titres que j’aurai aimé porté. Les titres que j’aimerais porter, je ne les porterais pas même si on me les avait offert. D’ailleurs m’ont été offert, mais je ne peux pas, somme toute, les portr pour autant. Et les titres que je porte, sans désir de les porter, ceux-là, j’aimerai qu’on entende, qu’on me comprenne quand j’avoue n’y être pour rien. Je n’y suis pour rien. Et il a eu des siècles de croyance sur la nomition de sa caste, de sa nation, de sa couleur, des siècles de croyance sur l’importance qu’on se donne, et une infinité d’erreur. Mais tout ce qui donnerai à l’autre que je suis ce que je représente se trompe. Est-ce qu’on serait d’accord pour que ce genre de déductions se fassent aussi avec toi, vivants de sang dans les veines et d’un coeur qui bat ? parce qu’il n’y a plus que l’Afrique sur cette terre. Et je souhaite enterré les morts avec les vivants.

Que ma conclusion à moi, se passe avec quelqu’un. Qu’un monde se soit entrevue serait une jolie cerise sur le gâteau. Et reglons-nous sur les parts. Équitablement.

-jo-